Valeurs Société Points de mire Culture Nutrition

La santé à l’américaine?

Enfin un regard critique sur le projet Réseau de l’Arc que l’on nous concocte dans la plus parfaite opacité.  Swiss Medical Network , membre de la  multinationale Avis, Visana une des plus grande caisse maladie et le Canton de Berne proposent d’un seul élan, un modèle révolutionnaire en matière de santé, rien de moins. Mais qu’en est-il vraiment? Le Réseau de l’Arc se présente comme la révolution du système de santé suisse. Il réunit le plus gros groupe de cliniques privées suisses, Swiss Medical Network (SMN), l’assurance maladie Visana et le canton de Berne et propose un nouveau modèle de financement des soins dans l’Arc jurassien. Cette petite famille a accouché de « VIVA que celle-ci», une « nouvelle » forme d’assurance maladie, ou plutôt d’assurance santé. Soins intégrés, prévention, primes plus basses, comment résister à cette belle histoire? Surtout que celle-ci commence avec des critiques pertinentes de notre système

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Société Économie Nutrition Transition

Die neuen Wanderlehrlinge – s’impliquer, au lieu d’être touriste

Sich Wissen aneignen, das für den ökologischen Wandel nötig ist, ohne gleich Hals über Kopf den Beruf zu wechseln oder eine Handwerker-Lehre anzufangen. Das Projekt „Sentiers des Savoirs – Pfade des Wissens“ will genau dies ermöglichen. Diesen Herbst waren nun in Biel und im Berner Jura die ersten sogenannten „Wanderlehrlinge“ unterwegs. Vision 2035 wollte von Prisca Müller-Zuber und Noé Thiel, zwei der Wissensträger*innen, erfahren, wie sie die Pilotphase erlebt haben und wie das Ganze zu einer anderen Wirtschaft beitragen kann. Prisca von MüZu, Was ist dir von dieser ersten Runde der Sentiers des Savoirs geblieben?  Zunächst hat mich sehr gefreut, dass es viele Anfragen gab. Die Praktikumsplätze waren rasch ausgebucht. Das zeigt uns: der Bedarf für ein solches Gefäss ist da. Zwar sind nicht alle der „Wanderlehrlinge“ von Wissenvermittler zu Wissenvermittler gegangen, wie das eigentlich die Idee des Projekts ist. Aber das Bedürfnis jener, die kamen und gingen, andere Lebensformen

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Nutrition

A Vittel, Nestlé continue le pillage de l’eau

La population de la commune de Vittel risque de se voir privée de l’eau provenant des nappes phréatiques, en raison des pompages de l’entreprise Nestlé Waters, réalisés pour produire et vendre des bouteilles d’eau minérales. Point de la situation par le Collectif eau 88, citoyennes et citoyens engagés, qui n’ont pas dit leur dernier mot. Quelle est la situation à Vittel? A Vittel, il existe trois nappes phréatiques. Les deux nappes les plus superficielles font l’objet d’un monopole d’exploitation par la multinationale Nestlé. Quant à la plus profonde (250 m sous terre), dite nappe des grès, elle est partagée entre la population (eau du robinet), Nestlé (embouteillage), les collectivités locales et les agriculteurs ainsi qu’une fromagerie (processus de fabrication). Cette nappe est pourtant réputée être en situation de déficit chronique depuis les années 1970… un manque d’environ 1 milliard de litres d’eau par an ! 1 milliard de litres !

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Nutrition Non classifié(e)

Waterpreneurs et Cie: les nouveaux entrepreneurs de l’eau

A l’heure où la raréfaction de l’eau est en passe de devenir un problème mondial majeur, on assiste à une mainmise marquée du secteur de l’eau par un système financier complexe et opaque. L’eau, sous couvert de durabilité et de préoccupation pour la planète, semble particulièrement aiguiser l’appétit des financiers. Pour commencer, l’argument numéro un permettant de légitimer le recours au secteur privé dans le domaine du développement est notamment la réalisation de l’objectif de développement durable onusien numéro 61. En effet, ce dernier affirme que la mise en œuvre de certains droits fondamentaux essentiels comme l’accès à l’eau nécessite un besoin de capitaux et d’investissements à hauteur de 140 milliards de US$ et ainsi l’implication du secteur privé dans cette entreprise. En d’autres termes, si nous voulons parvenir à cet objectif et permettre à toute la population mondiale d’accéder à l’eau, nous allons devoir la privatiser et la considérer

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Nutrition Urbanisme

13.5 Millionen Liter Trinkwasser für Biel – jeden Tag

Biel ist eine Wasserstadt – auch ohne Agglolac. Da sind die Quellen am Jurahang, die einst zur Gründung der Stadt an dieser Lage führten. Da ist der See, dessen Wasser sechs Mal im Jahr vollständig ausgetauscht wird. Da ist die Schüss mit ihren Armen, die das Stadtbild prägen. Da ist das Grundwasser, das bei jedem grösseren Bauvorhaben Spundwände nötig macht. Und wie läuft das eigentlich mit der Trinkwasserversorgung, den unsichtbaren Röhren, Pumpen und Reservoiren? Einblicke in Biels Wasserwelt mittels kleiner fiktiver Geschichten voller Fakten und Zahlen. In Madretsch steht eine Studentin frühmorgens in der Küche ihrer WG im dritten Stock eines Altbaus. Sie dreht den Kalt-Wasserhahn auf und lässt das Wasser laufen. Sie hat einmal in einem Artikel im Bieler Tagblatt gelesen, dass es ratsam sei am Morgen vor dem Trinken das Kaltwasser einige Minuten fliessen zu lassen, damit kein über Nacht in den Leitungen gestandenes Wasser im Glas landet.

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Nutrition

Eaux minérales ou eau du robinet, qui remporte le match ?

Impossible de se pencher sur l’eau sans aborder la question du commerce florissant de l’eau. Et le match fait fureur entre l’eau du robinet et l’eau embouteillée. Il y a un siècle, la consommation d’eau minérale en Suisse atteignait moins de 2 litres par habitant et par an, dans les années 50 elle était encore inférieure à 10 litres et en 2013 chaque habitant en Suisse en consommait en 110 litres. Aujourd’hui il est consommé en Suisse chaque année plus de 900 millions de litres d’eau minérale en bouteille, aromatisées ou non, soit plus de 100 litres par personne, dont plus d’un tiers est importé. Mais comment les suisses consomment-ils leurs boissons favorites embouteillées ? 55% à domicile et dans la restauration pour 45% restant. Et les eaux aromatisées telles que Schweppes ou Henniez citron, San Pellegrino orange, etc. sont de plus en plus consommées.  Qui sont donc ces marchands d’eau et

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Nutrition Transition

Février sans supermarché, participez ici !

Et si c’était au supermarché que les clusters de covid-19 se formaient ? Piégé à devoir choisir entre 564 sortes de yogurts et 26 différents laits (UHT, pasteurisé, standardisé, de prairie, bio, solidaire, sans lactose, protéiné, écrémé). Et s’il y avait une interprétation différente du terme « magasin non-essentiel » ? Si les supermarchés devaient fermer ? Où iriez-vous faire vos achats de première nécessité ? Faisons comme si, pardi, c’est le défi « février sans supermarché » ! Des challenges, il en existe beaucoup. Ceux « avec » et ceux « sans » : un mois sans sucre, 15 minutes de méditation par jour durant un mois, 30 jours d’écriture, ou encore le « dry january ». Tous promettent des résultats incroyables sur le bien-être. Il en fleurit tellement et de toutes sortes que je me questionne sur leur effet placebo. Oui, nous sommes une société qui aime se mesurer, se concurrencer parmi, « se challenger ». Qui aime surtout les vainqueurs mais qui clame haut et

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Nutrition

Die schmackhafte Alternative aus dem Wald

Dieses unglaublich wohlig stimmige Gefühl, ganz verbunden und im Einklang zu sein, kennst Du das? Tönt schon sehr abgehoben, ja – fühlt sich jedoch genau gegenteilig an. Und es kommt bei mir immer dann auf, wenn ich Lebensmittel konsumiere, die da gewachsen sind, wo ich grad bin. Sie stimmen einfach, gehen direkt in Schwingung mit meinem Körper – anders kann ich es nicht ausdrücken. Zum Beispiel ein Kräutertee aus dem Bieler-Wald. Er ist sehr einfach und schnell zubereitet, variantenreich und für den Körper eine echte Unterstützung gesund zu bleiben, oder wieder zu werden, zudem kostenlos. Die abgebildeten Pflanzen, Blätter und Blüten können beliebig kombiniert werden. Alle sind frisch gepflückt zu geniessen, mit Ausnahme des Waldmeisters, der sein Aroma angetrocknet erst so richtig entfaltet. Wers gerne gemütlich mag: viele dieser Pflanzen wachsen  auch in den Gärten und Parks der Stadt. Und schon mit einer Tassee Kaffee, die Du täglich durch einen

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Nutrition Transition

Un magasin pour devenir consomm’acteur-trice

Faire ses courses à la Mini-Fève à Meyrin, le petit magasin-test du futur Supermarché Participatif Paysan la Fève, c’est expérimenter un tout autre mode de consommation. On tente quotidiennement de réinventer nos liens à la nourriture et à ceux et celles qui la produisent. On y apprend petit à petit à être un consommateur plus responsable et averti. La Mini-Fève n’est pas un magasin comme les autres. Pour tout visiteur qui s’y introduit sans le connaître, la convivialité y est frappante et les repères pour le moins perturbants : « pourquoi ce ‘client’ qui fait la queue passe-t-il de l’autre côté de la caisse ou pourquoi cette ‘cliente’ m’accueille-t-elle avec un grand sourire ? » A la Mini-Fève chaque membre de la Coopérative est à la fois simple consommateur et travailleur dans le magasin, ce qui modifie profondément le lien à la consommation. Comme le rappelle Benoît Molineaux, membre du Comité d’Administration du SPP, le

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Nutrition Urbanisme

Die andere Hälfte ist auch essbar

Beim QuartierInfo Mett der Stadt Biel gibt es neu jeden Donnerstag von 14 bis 16 Uhr einen Bio-Gemüsemarkt fürs kleine Portemonnaie. Verkauft werden Kartoffeln, Rüebli, Randen, Zwiebeln, Kohl und vieles mehr – direkt geliefert vom biozertifizierten Brunnereichhof in Spins bei Aarberg. Ein Foodsave-Projekt mit besonderem Charakter. Geschmacklich ist das Gemüse, das seit Anfang September jeden Donnerstagnachmittag vor dem QuartierInfo Mett angeboten wird, hervorragend, wie Testeinkäufe bestätigten. Vom Aussehen her aber entspricht es nicht dem, was die Kunden aus dem Supermarkt kennen, ganz einfach weil unsortiert, zum Teil zweiter oder dritter Qualität, klein, krumm, und natürlich belassen statt gewaschen, sprich mit echter Erde dran. Dies habe denn auch schon für die eine oder andere negative Reaktion gesorgt, so Anna Mele, Leiterin des QuartierInfo Mett der Stadt Biel: „Viele Leute sind es sich gar nicht mehr gewohnt, Gemüse mal anders als auf Hochglanz getrimmt zu sehen“. Die Mehrheit der Kundinnen und Kunden

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